Dans trois semaines à peine, l’excellent « Poker Cash 3 Online » sera disponible dans toutes les bonnes boutiques de poker. Edité par Fantaisium, les éditions de François Montmirel, ce volume a une particularité qui devrait attirer de nombreux amoureux du poker : il est signé Dan Harrington, le fameux champion du monde 1995 qui a changé la face de l’apprentissage du poker grâce à ses volumes sur le Texas Hold’Em.
Prenez la très large majorité des champions de poker actuels, ils ont tous potassé deux auteurs : le Super System de Doyle Brunson et les « Harrington on Hold’Em ». Des méthodes qui ont permis aux plus studieux des élèves de devenir… des joueurs gagnants !
Le 10 février sortira ainsi « Poker Cash 3 Online », une véritable bible pour les joueurs désireux de se lancer dans le poker online, à basse limite. Dans ce pavé de plus de 500 pages, Dan Harrington remet en question toutes ses théories passées pour les adapter aux basses limites du online —soit près de 99% des joueurs !
Si Harrington n’est pas né de la dernière pluis (il affiche 66 années au compteur), il n’en a pas moins radicalement changé son approche du poker au fil des années, et permet de mélanger fondamentaux indéboulonnables et nouvelles tactiques afin de gagner online.
La force du livre est son approche novatrice. Jamais on ne vous a parlé de la tactique de cash online en ces termes. Toute la théorie d’Harrington repose sur les éventails de mains (ou les ranges, gammes, panels…) qui aident à anticiper le jeu adverse, et sur le maniement du HUD, ce groupe d’indices statistiques qui accompagne chaque adversaire que l’on suit avec son tracker.
Une mise en garde de l’auteur lui-même : si vous persistez à jouer sans tracker au poker online, ne lisez pas ce livre, car il ne jure que par eux. C’est bien le sort logique du poker en ligne que de s’accompagner des outils nécessaires. « Devriez-vous jouer sur Internet ou en live ? Ce n’est pas vraiment une question justifiée. Si vous apprenez le hold’em no-limit, Internet est le meilleur terrain d’entraînement jamais conçu. Vous pouvez débuter à des limites ultra-faibles, jouer des milliers de coups, analyser votre jeu tout du long, monter de limite lorsque vous êtes prêt et vous révéler être en assez peu de temps un joueur aguerri disposant d’une diversité de choix.
Les tapis ne sont pas toujours impressionants, mais il reste tout de même encore 100 joueurs dans le high-roller à 1000€ qui a commencé hier à 17h, et fait une pause à 1h30 dans la nuit. Il a repris 30 minutes avant le Day 3 du Main Event, et compte toujours plus de 100 participants (sur 284 entrants, puisque le re-entry était encore possible au premier niveau du jour), avec un chipleader, Stau Dacher, qui pointe à 156 BB. Le tournoi se finira dans la journée, peut-être même plus tard que le Day 3 du Main Event, qui amène à la finale. Tour de salle, entre Sonny Franco, Aurélie Réard, Julien Sitbon, Leo Margets, Philippe Ktorza, Bruno Fitoussi, Romain Lewis, Davidi Kitai, Cécile Ticherfatine, Pierre Calamusa, Angelo Besnainou et autres Antonin Teisseire.
Au vu du rythme effréné des éliminations, mieux faut faire vite un tour dans le field pour traquer les rares sourires côté « All-in & call ! » Notre photographe Jules Pochy vient d’y passer une bonne heure… Tour d’horizon.
Rémy Biechel, qualifié in extremis lors du dernier Day 1, a le sourire
Skyart, toujours présent !
Finaliste du Main Event WSOP, ca aide côté bankroll…
Gaelle Baumann arbore encore le logo Winamax, au beau milieu de Mickey & Minnie
Cécile Ticherfatine, l’un des plus gros stacks du Day 2, toujours solide
C’était prévu, et le début de journée (qui va donc accueillir les deux dernier Day 1 du Main Event de la finale WiPT) du vendredi 4 avril a tenu toutes ses promesses : foule en continu, re-entry intempestifs pour avoir le droit de continuer à rêver de l’épée réservée au vainqueur, qui sera adoubé lundi dans la journée. D’ici là, il faudra manoeuvrer au milieu des cartes comme au milieu des files d’attente de nouveaux entrants. Plus de 1100 inscrits, déjà, pour ce Day 1e, et un petit tour de salle signé Jules Pochy, en quête de visages connus (Almira Skripchenko, en Une) et inconnus.
Les salles ne désemplissent pas, en attendant de pouvoir s’asseoir au Day 1e
La streameuse Lyegaia et son élégance naturelle
Davidi Kitai, incontournable
Rémy Biechel, élu joueur préféré du stand presse des plus de quarante ans
Fred Musa, animateur de Planète Rap et WIP régulier
Slimane Mamèche, et son sourire franc illuminent la table