Grâce à une équipe Winamax très performante, retrouvez l’ensemble des biographies des joueurs de la table finale :
Othman Chaib
Othman Chaib – 33 ans, Bordeaux – 1 960 000 de tapis
Dans la famille « grinder qui sait aussi perfer en live », je demande Othman : sur Winamax, c’est sous le pseudonyme de MUSICOLOGIE qu’il a accumulé suffisamment de points de fidélité pour s’offrir son ticket pour la Grande Finale, deux ans après sa première participation au WiPT – son statut Diamond lui a d’ailleurs permis de passer une soirée en mode VIP au Moulin Rouge à la veille du Day 1B. Nous avons donc affaire à un joueur régulier et performant : son terrain de jeu favori est le MTT, avec parmi ses plus beaux accomplissements une seconde place sur notre Main Event dominical, et d’autres faits d’armes marquants sur les sites concurrents. Dans le civil, le bordelais chante dans un groupe (« Influences hip-hop et soul : mes idoles sont Ray Charles et Stevie Wonder ») a découvert le Texas Hold’em au moment du premier boom du poker lancé par Chris Moneymaker en 200$. Il est aujourd’hui coaché par un certain Yohan « Yoh_Viral » Guilbert. Comment résumer son tournoi en quelques mots ? « J’ai reçu plus de bad beats que j’en ai donnés ! » Othmane a notamment perdu le pot du chip-lead lorsqu’il restait quinze joueurs, et a vu une paire d’As craquée par As-Roi. Mais qu’importe : il sera en table finale avec un joli tapis après avoir éliminé Damien Lhommeau en neuvième place, soutenu par les trois potes avec qui il a fait le déplacement, et réalisera quoi qu’il arrive sa meilleur perf en live, après une finale dans un tournoi à 60€ à Bordeaux juste avant Noël.
Salah Amran – 32 ans, Marseille – 2 350 000 de tapis
Amateur de cartes depuis 2005, Salah a le profil du joueur de cash-game (principalement en Omaha) ne rechignant pas à disputer un tournoi de temps en temps, en témoigne un palmarès ouvert en 2014 affichant de belles places à Cannes, Monte Carlo, Nice, San Remo ou encore Dakar, pour un total de gains de presque 90,000 dollars. Sur ses neuf résultats live recensés sur les bases de données principale, on compte six podiums ! A Marseille, Salah occupe le poste de chauffeur de livreur mais au WiPT, qu’il disputait pour la première fois, c’est lui qui a reçu les livraisons, éliminant beaucoup de joueurs, notamment en demi-finales. Salah aime jouer beaucoup de mains et a fait le yo-to tout au long de la Grande Finale : il entamera le dernier jour avec 23,5 blindes.
Allan Tirel – 30 ans, Saint-Nazaire – 2,810 millions de tapis
« Je joue beaucoup, beaucoup, beaucoup en ligne », nous dit Allan, qui pourrait bien profiter de cette table finale au WiPT pour faire décoller sa carrière en live. D’ailleurs, quel que soit son gain mardi, le plan de ce natif de la région nantaise est on ne peut plus simple : « Faire Vegas ! J’essaie de jouer de plus en plus en live, des tournois entre 500 et 1 000 euros une fois par mois. Un gros gain me permettrait donc de monter un peu de limites. » Après une troisième place à la Deauville Cup en janvier 2015 et une seconde place au Warm-up du WPTN de Marrakech en septembre dernier, une victoire ici ne serait que logique dans sa progression. Avec 28 blindes devant lui, soit le troisième plus petit tapis des huit finalistes, la tâche ne sera pas des plus simples pour Allan, mais ne comptez pas sur lui pour jouer la montre. « Je suis très compétitif, je vise toujours la gagne. C’est pour cela que je me suis orienté vers le poker de tournoi. » ‘MarcLaGuigne’, tel qu’il se fait appeler sur les tables online de Winamax, devra qui plus est faire mentir son pseudo et compter sur le soutien de Dame Chance. Challenge accepted !
Mohamed Cheikh
Mohamed Cheikh, 49 ans, Argenteuil – 4,555 millions de tapis
Pour ce joueur invétéré de cash game, participer au Winamax Poker Tour est le fruit du hasard. « Je suis un grand habitué du Cercle Clichy-Montmartre et j’y ai réalisé trois tables finales consécutives entre quelques cash games » précise Mohamed. « J’ai gagné un tournoi et, en plus du premier prix, le vainqueur gagnait son ticket pour cette finale, ce qui m’a amené ici » poursuit-il. Un discours modeste pour ce joueur qui a déjà gagné une petite épreuve à 130 euros à Deauville en octobre 2015 et qui profite de ses vacances à Macau et Las Vegas pour jouer en cash game. « C’est vrai que j’essaie de choisir les destinations des vacances pour que je puisse jouer au poker » confie Mohamed avec le sourire. Mais pour ce moniteur d’auto-école dans la banlieue parisienne, les cartes restent avant tout une passion. « Et je tiens d’ailleurs à remercier tout ceux qui s’intéressent de près ou de loin à ce jeu et puis aussi à tout ceux qui nous le font vivre de l’extérieur comme les médias. » Humble et respectueux dans son discours, Mohamed semble vivre cette accession en finale avec des yeux rêveurs mais pour aussi déterminés, bien conscient de posséder un tapis lui permettant de viser au minimum le podium. « Le coup clé s’est produit au Day 3, quand j’ai gagné un coin flip avec paire de dames contre As-Roi alors que j’étais couvert. » Avec la position sur Ricardo Manquant et un tapis de plus de 45 blindes, Mohamed peut rêver grand. Il sera encouragé durant la table finale par l’ensemble de sa famille et plus particulièrement son fils, qui a les yeux rivés sur le streaming depuis le début de la retransmission.
Ricardo Manquant – 41 ans, Lyon – 4,9 millions de tapis
S’il y a bien un joueur d’expérience sur cette table finale, c’est Ricardo Manquant, le chipleader. Avec plus d’un demi million de dollars de gains en tournois live depuis 2012, date à laquelle il a commencé à jouer au poker, Ricardo abordera cette table finale avec beaucoup d’aisance et d’expérience, car ces phases là, il les connait bien. Vainqueur du Main Event des WSOP Circuit en 2015 à Marrakech, champion WPT National, toujours à Marrakech en 2013, vainqueur d’un Unibet DSO à Gruissan en novembre dernier et multi finaliste du Marrakech Poker Open : Ricardo est un joueur d’expérience et de talent. Il lui manque néanmoins une performance sur le WiPT : « J’ai terminé 66e en 2013 et 45e l’an passé. Cette année, si je ne fais pas Top 4, je serai forcément déçu ». Ricardo nourrit des ambitions légitimes : « Le coup clé de mon tournoi est arrivé aujourd’hui, quand j’ai trouvé un triple up sur la rivière, en touchant un Roi. Là, je suis monté à 2 millions de jetons puis j’ai eu un rush de cartes au bon moment, pour monter jusqu’à 6 millions. » Jusque là, ce professionnel du monde artistique n’a pas eu trop de soucis dans ce tournoi : « On va dire que j’ai eu la chance de ne jamais avoir de tables compliquées. » La patience est devenu l’une des clés de sa réussite : « La patience ainsi que le fait de mettre mon égo de côté aussi, ça m’a beaucoup aidé. Je suis content de faire cette finale, car ça n’allait plus très bien depuis quelques temps ». Plus posé, plus réfléchi qu’avant, il sera un très sérieux candidat à la victoire.
Marc De Brito
Marc De Brito – 65 ans, région Parisienne – 2,7 millions de tapis
Ce jeune premier de 65 ans n’en est pas à sa première table de poker. C’est à l’âge de 11 ans qu’il s’amourache du poker fermé sous l’oeil bienveillant de son père. Ce jeu lui apportera de nombreuses années de plaisir.. Joueur régulier de tournois No Limit au temps de l’ACF, il y gagne de nombreux petits événements mais sa plus grande satisfaction reste une 6ème place sur un tournoi ACF de 180 joueurs. Lors de cette Grande Finale, la belle histoire s’est écrite dès le premier jour : Marc gagne son ticket lors du dernier satellite mardi soir (10 tickets pour 60 joueurs). Il déroule un Day 1a plutôt laborieux et termine avec 20 000 jetons soit le tapis de départ. Le Day 2 dégage les même effluves que le précédent et la journée s’achève cette fois à 24 000 jetons.. pour une moyenne de 110 000. Ce n’est que lors du Day 3 que la chance vient habiller son expérience et de 24 000 jetons, il termine à 950 000 après huit niveaux…. Marc prendra le départ de cette table finale avec 27 blindes.
Cyril ‘MrTartopoire’ Georges (Qualifié freeroll Nancy) – 20 ans, Lesigny (77) – 4 220 000 millions
Près de 200 des participants à la finale du Winamax Poker Tour avaient décroché leur qualification au cours des 43 étapes gratuites organisées dans toute la France entre novembre et janvier dernier : Cyril est le dernier d’entre eux encore en course ! En s’inscrivant sur un SNG qualificatif en novembre 2015, Cyril ne pensait pas une seconde atteindre la table finale du Winamax Poker Tour quatre mois plus tard. Ainsi, avant d’arriver au cercle Clichy-Montmartre, l’étudiant de 20 ans avait franchi avec succès plusieurs étapes : remporter un tournoi Sit-N-Go « Starting Block » d’abord, puis briller lors d’une épreuve « Tremplin », puis figurer ensuite parmi les 13 meilleurs joueurs de l’étape de qualification de Nancy, qui avait rassemblé 600 joueurs ! « Jusqu’ici ça s’est plutôt bien passé pour moi : 4e au chipcount au Day 1, 4e au Day 2, au Day 4 j’arrive en bonne position grâce aux quatre dernières mains que je joue, passant de 148 à 848 000 jetons ! Aujourd’hui j’ai réussi à monter un bon stack en deux heures jusqu’à monter à 4,4 millions ! Cette finale c’est mon plus gros tournoi live payant ». Un parcours à la cool pour Cyril, lui qui ne se contente que de jouer des tournois à faible prix d’entrée depuis deux ans après avoir découvert le poker grâce à des potes lorsqu’il avait dix ans. Le poker est pour lui un loisir qui lui permet de mener à bien ses études d’ingénieur à l’École Polytechnique Féminine de Sceaux (92) « Je précise que c’est devenu une école mixte depuis les années 90 ! Merci d’ailleurs à tout ceux de l’école qui me soutiennent ! J’espère bien aller le plus loin possible ! » C’est tout le bien qu’on lui souhaite !
Sylvain Nazarian
Sylvain Nazarian – 52 ans, Val d’Oise – 3 670 000de tapis
L’agent immobilier représente la France des clubs, plus précisément la All In Team Poker, association basée à Eaubonne. Là où la plupart de ses adversaires affichent de longues années d’expérience, Sylvain nous confesse ne jouer que depuis un an. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir déjà accroché un beau résultat à son palmarès : une troisième place sur un tournoi deepstack organisé à côté de chez lui, à Enghien, en décembre dernier. Il a payé son buy-in de sa poche pour disputer le WiPT pour la première fois, n’ayant pas assez de temps pour disputer les qualifs en ligne. Sur Winamax, Sylvain est féru de SNG et d’Expressos sous le pseudonyme de « Haydera ». Sa seule déception durant le tournoi ? Ne jamais avoir eu de pro à sa table… Mais c’est peut-être aussi ce qui lui a permis de grinder tranquillement jusqu’à la finale ! Sylvain sera soutenu en finale par son frère et des membres de son club, qui ont fait le déplacement exprès pour l’encourager. Son objectif : gagner, pourquoi pas en éliminant le joueur qu’il considère comme le plus dangereux des finalistes.
C’est reparti pour s’équilibrer entre joueurs lorsqu’Aliosha Staes, qui avait un peu pris du champ, shove paire de 9 et tombe sur paire de rois chez Timothé Labassa qui double à 20 BB, pour 31 pour Staes, et 20 pour Hammann.
Comme les niveaux continuent de se rapprocher (25-22-17), les joueurs décident de faire une pause pour rediscuter d’un deal éventuel. Le directeur du tournoi propose une distribution 61K pour Staes, 59K pour Hammann, et 55K pour Labassa, mais finalement les joueurs refusent et le jeu reprend.
Une main intéressante se déroule entre Staes et Hamman, relancée par Staes en petite blind et payée par Hammann. Le flop vient 7-6-10, Staes mise 1,2M et Hammann le suit pour aller voir un turn qui est un autre 6. Staes checke et Hammann mise 3M. C’est au tour de Staes de coller et de checker sur un As à la river. Hamman met 5,8M et Staes paye : 10-5 contre 10-9, et ça partage.
Soudain une main qui sonne comme un éclair dans un ciel sans nuage : tapis de Labassa avec J-10 de carreau et Staes paye immédiatement avec paire de rois. On croit à l’élimination de Labassa mais il trouve deux 10 au board pour doubler à 38M. Staes est amoché à 9,2M (7,7BB)
Labassa a fait preuve de talent et aussi de chance, ce qui est encore plus important (Photo Winamax)
Staes envoie à tapis le coup d’après puis qui trappe Hammann (ou bluffe avec talent) sur un board 7-K-7-As-6 en envoyant à tapis sur une petite mise river de Hammann qui semble sans conviction. Il part à tapis et Hammann montre une paire de 8 qu’il folde. Staes revient à 18M, puis 23M en envoyant sans peur à all-in autant qu’il peut. Un de ses amis du rail belge lui dit « d’aller chercher le loyer ».
Eh bien c’est ce qu’il semble faire le coup d’après en rendant la monnaie de sa pièce à Labassa : il shove As-2 contre As-roi, et fait deux 2 au board ! Il double à 48 et laisse Labassa exsangue (8M).
Hammann ne bouge pas depuis un moment à 20M. Il essaye de mettre la pression à Labassa sur le coup suivant mais il est payé immédiatement avec As-8. Son J-2 fait pâle figure, Labassa prend le coup et double à 15M. Hammann est à 13.
Staes et Hammann (Photo Winamax)
Le coup suivant, Hammann part à tapis, Labassa paye sans trop hésiter, et Staes, au terme d’une longue réflexion, décide de suivre. K-J de pique pour Hammann, As-J de coeur pour Labassa, K-Q off pour Staes. Le flop vient 8-9-10 avec 2 trèfles, la turn est un 5 de pique qui ouvre énormément d’outs pour Hammann mais le 9 de carreau final le renvoie chez lui. La question se pose de savoir s’il regrettera d’avoir fait capoter un deal deux fois. Il touche néanmoins 43000 euros pour sa peine.
Labassa en gagnant ce coup monstrueux remonte à 44M (29BB), Staes est à 30 (22BB). Il y a une nouvelle proposition de deal avant de lancer le heads-up, avec 70k, 66k et 15k laissés à la gagne, mais il est une refusé encore une fois pour prolonger le plaisir. Il est 2h du matin. Les niveaux vont désormais être de 20 minutes.
Labassa met la pression dès le premier coup et fait monter l’écart à 20M avec une relance préflop et un parpaing au flop 6-3-8. Il ne laisse pas Staes respirer pendant les coups suivants, shovant ou misant post-flop pour le faire jeter ses cartes. Staes flat une nouvelle fois du bouton, Labassa part all-in avec As-5 et Staes paye debout sur la table avec As-roi et repasse en tête 32BB contre 22BB. Tout est encore possible !
Staes attaque fort un coup avec une mise à 3,1M préflop, 3M au flop et 8M au turn sur un board Q-4-10-8 et Labassa finit par jeter après une longue hésitation, passant à la moitié du tapis de son adversaire.
Et c’est fini ! Sur le coup suivant, Staes checke quand Labassa complète du bouton. Le flop vient 6-4-7 rainbow. Labassa mise 1,6M. Staes met un long moment à tribet à 4,9M. Labassa prend presque autant de temps pour annoncer all-in et Staes snap-call. K-7 pour Labassa, et 8-5 et quinte max pour Staes. Il faut au Français deux runner-runner pour espérer faire full et s’en sortir mais l’As du turn met fin à tous ces espoirs.
Labassa sort avec 62K euros, Staes avec 90k. Félicitations à lui ! Et merci à Winamax pour ce magnifique événement à Bratislava qui a tenu toutes ses promesses !
L’événement « Face the Pros » où les joueurs peuvent venir défier les membres de l’équipe pro pour des heads-up sur iPad est l’occasion d’affronter les meilleurs dans la bonne humeur.
Côté finale du Main Event, Timothé Labassa colle un open d’Imperatore UTG avec paire de 10, ça fold jusqu’à Cechowski qui se réveille en BB avec As-Roi. Il part à tapis, Imperatore fold sa main random et Labassa call. Les 10 tiennent et Cechowski sort en 5ème position (21600 euros).
Les mains suivantes, Labassa s’essaye à ouvrir avec des mains limites mais doit les jeter une par une face à des relances de mains plus fortes. Hammann, peut-être du fait de l’image qu’Imperatore s’est donné à table, fait plusieurs calls ambitieux sur des tirages qui rentrent à la river, et grignote un peu le tapis du chipleader.
Vient le moment fatidique où l’image qu’il s’est construite pourrait payer : ouvrant avec paire d’As, Imperatore est payé par Staes, le Belge de la table, avec paire de 8 en petite blinde. Mais un 8 tombe au flop et Staes double (21M) , tandis qu’Imperatore retombe à 17M. Les tapis sont maintenant assez proches et l’action ralentit.
Peu de temps après, sur une opposition entre les mêmes avec As-Q contre As-Roi avec un pot monté à 19M, Imperatore trouve un fold surnaturel sur une mise 6,5M à la river (board As-7-2-9-7).
Aliosha Staes est désormais le chipleader et fait un mouv fou quelques coups après : sur une relance de Labassa avec As-10, il tribet à 3,1 à la BB avec As-7 dépareillé, reprend 6,2 en 4-bet de Labassa et shove en 5-bet ! Labassa jette sa main et Staes est à 41M.
Aliosha Staes (Photo Winamax)
Les coups suivants ne font que confirmer cette tendance, d’autant que le Belge semble toucher chaque flop et il part en pause avec une belle avance sur les 3 autres joueurs qui doivent maintenant faire attention à l’ICM pour optimiser leur résultat.
Il n’y aura pas de round d’observation en cette table finale à 7 (qui s’explique par l’impossibilité de distribuer les joueurs sur 2 tables sans désavantager le groupe de 3).
Après 2 tours, Hugo Menant part à tapis UTG, payé par Dylan Cechowski en late avec paire de 10. Le roi-dame de Menant semble bien parti avec un flop Q-K-8. L’As du turn offre les valets en plus des 2 derniers 10 pour Cechowski, et c’est bien un valet qui renvoie finalement Menant chez lui en 7ème position (12080 euros).
Hugo Menant (Photo Winamax)
Le chipleader de la table, Valentin Imperatore, joue très loose, en mettant des patates dans tous les sens sans hésiter à montrer des mains douteuses quand personne ne colle… ça ne tombe pas dans l’oreille de sourds à la table, et sur une nouvelle ouverture d’Imperatore, Jonathan Pastore part à tapis avec 20BB, Imperatore paye avec paire de 7, contre K-Q chez Pastore.
Le flop vient 10-5-J, qui ouvre la quinte par les 2 bouts à Pastore, un 10 au turn lui ouvre également les valets, mais aucun de ses 12 outs ne sort à la river et Pastore sort en 5ème position (21660 euros).