Que ce fut beau, que ce fut cool, que ce fut fun : le Crazy Cup Challenge a bien mérité son nom. Les trois épreuves imaginées par les équipes de Winamax ont été riches en émotions, et en bières, de toute évidence. Le principe était simple : des équipes de deux joueurs, trois challenges à réaliser le plus rapidement possible. Chaque temps de chaque challenge chronométré est additionné les uns avec les autres. La team au chrono le plus bas à l’issue des trois tours était déclarée vainqueur. La prestation de votre serviteur a été quelque peu décevante. Qu’importe, le plus important, c’est bien de participer. Allez, je vous laisse kiffer en images.
La Crazy Cup Challenge, top départ !
La première épreuve est installée, manque plus que les participants.
La Winamax TV est quant à elle en place…
…pour interviewer les hôtesses de l’événement.
Petit point sur le principe du jeu et les règles de chaque épreuve.
Tous les inscrits sont sont chauds d’action.
Le boss des arbitres, en la personne d’Harper, réalise une petite démonstration pour illustrer les règles du jeu.
Règles du jeu : boire son fond de bière placé devant soi, mettre le verre sur sa face arrière au bord de la table, puis le retourner de sorte à ce qu’il atterrisse sur la face avant. Plus difficile à dire qu’à faire.
Second : construire une pyramide de verres (avec une base de cinq verres), puis la démonter en empilant chaque gobelet le plus rapidement possible.
Et enfin, gonfler un ballon de baudruche, puis faire basculer cinq verres situés sur le bord de la table à l’aide de l’air expiré du ballon.
Les grands vainqueurs du Crazy Cup Challenge ne sont autres que les Challengers, le même binôme sorti victorieux du Foot Golf. Manque plus qu’à run aussi good sur le Main Event les gars.
C’est au terme d’une longue finale que Yoann Kaminisky s’est finalement imposé et a décroché l’épée dédiée au gagnant de cette compétition. Peu d’observateurs auraient misé sur ce joueur discret, passé par des montagnes russes de coinflips au Day 3, et ayant frôlé à plusieurs reprises l’élimination. Il aura également bénéficié d’un étonnant play d’un short-stack à six joueurs restants, lorsqu’il relance avec K-10 offsuit, et fait coucher un short-stack (6BB) qui tenait A-10 en main…
Le fort sympathique Patrice Espinasse, qualifié lors d’un freeroll et journaliste à Midi Libre de son métier, finit runner-up, après avoir pratiqué un poker solide et plus agressif qu’on ne l’aurait imaginé. Le chipleader, Tahar Said, ainsi que le champion 2024, Jérémy Cauchard, n’auront pas réussi d’exploit, finissant respectivement 5ème et 6ème.
Il faut saluer l’excellence de l’accueil assuré par les équipes locales du Pasino Grand, ainsi que de l’organisation assumée par tout le personnel de Texapoker. Alliés à Winamax, ils ont créé un festival sans aucune fausse note, populaire et extrêmement professionnel.
L’attente a été longue, très longue puisqu’il était 1h30 matin passée lorsque que trois éliminations d’affilée ont scellé le sort des neuf survivants de la grande finale. Parmi eux, le champion 2024 WiPT, qui arrive avec le plus petit tapis, mais surtout un solide chip leader, grand habitué du live midstakes, qui aura marqué les esprits après un fold AA étrange en demie finale face à son poursuivant, le très agressif et très chanceux PL Quandalle…
Le stream de la finale est bien sûr à retrouver sur Winamax.fr à partir de 14h !
Au retour du dinner-break, toujours dix-neuf joueurs en lice, et dix éliminations à attendre pour déterminer la table finale. Parmi eux, la belle histoire continue pour les deux qualifiés freeroll des étapes live, qui jouent solidement, ainsi que pour le vainqueur de l’an dernier qui a perdu la majeure partie de son stack avant la pause contre Paul Pirès-Trigo, notamment lors d’un bluff manqué à la river avec… rien contre top-paire, pour près de 5 millions de jetons…