Finalement, le jour 1B aura réuni la bagatelle de 185 inscriptions portant ainsi le total des entrées cumulées des jours 1A et 1B à 341. Alors la différence ne vous paraîtra peut-être pas énorme, mais « pour eux ça veut dire beaucoup ».
Concernant le 1C, les attentes sont donc globalement identiques : une soixantaine de buy-in seraient les bienvenus. Le 1C a démarré avec trois tables pleines et on peut donc espérer que le quota attendu sera rempli. Affaire à suivre.
Omar Lakhdari nous fait… du Omar Lakhdari ! Il tourne à environ 250k, soit trois averages. Et semble toujours méconnaître les principes TDA de rangement des jetons par valeur en plies de 20 unités. Un petit rappel à l’ordre lui donnera finalement l’envie suffisante de mettre un peu d’ordre à son tapis, permettant avant tout à ses adversaires de pouvoir se faire une idée précise de la profondeur de ses forces. Comme dit le fameux proverbe de poker « Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup ! »
Ils peuvent aller acheter des roses en amoureux (ou pas) :
Juliane Aram Papazian, Kemel Amrane, Fadh Boudaouine, Hervé Regis, Jean-Baptiste Borel, Sonny Franco, Léo Soma, Jean-Baptiste Lovichi, Fabien Revelli, Paul Patouillard, Adrian Marcone, Arthur Emig, Grech Luttke, Nicolas Filipe, Cyril Bremond
C’est au terme d’une longue finale que Yoann Kaminisky s’est finalement imposé et a décroché l’épée dédiée au gagnant de cette compétition. Peu d’observateurs auraient misé sur ce joueur discret, passé par des montagnes russes de coinflips au Day 3, et ayant frôlé à plusieurs reprises l’élimination. Il aura également bénéficié d’un étonnant play d’un short-stack à six joueurs restants, lorsqu’il relance avec K-10 offsuit, et fait coucher un short-stack (6BB) qui tenait A-10 en main…
Le fort sympathique Patrice Espinasse, qualifié lors d’un freeroll et journaliste à Midi Libre de son métier, finit runner-up, après avoir pratiqué un poker solide et plus agressif qu’on ne l’aurait imaginé. Le chipleader, Tahar Said, ainsi que le champion 2024, Jérémy Cauchard, n’auront pas réussi d’exploit, finissant respectivement 5ème et 6ème.
Il faut saluer l’excellence de l’accueil assuré par les équipes locales du Pasino Grand, ainsi que de l’organisation assumée par tout le personnel de Texapoker. Alliés à Winamax, ils ont créé un festival sans aucune fausse note, populaire et extrêmement professionnel.
L’attente a été longue, très longue puisqu’il était 1h30 matin passée lorsque que trois éliminations d’affilée ont scellé le sort des neuf survivants de la grande finale. Parmi eux, le champion 2024 WiPT, qui arrive avec le plus petit tapis, mais surtout un solide chip leader, grand habitué du live midstakes, qui aura marqué les esprits après un fold AA étrange en demie finale face à son poursuivant, le très agressif et très chanceux PL Quandalle…
Le stream de la finale est bien sûr à retrouver sur Winamax.fr à partir de 14h !
Au retour du dinner-break, toujours dix-neuf joueurs en lice, et dix éliminations à attendre pour déterminer la table finale. Parmi eux, la belle histoire continue pour les deux qualifiés freeroll des étapes live, qui jouent solidement, ainsi que pour le vainqueur de l’an dernier qui a perdu la majeure partie de son stack avant la pause contre Paul Pirès-Trigo, notamment lors d’un bluff manqué à la river avec… rien contre top-paire, pour près de 5 millions de jetons…