L’aventure est sur le point de se terminer pour la plateforme de stacking Up & Go. L’info émane de Pokernews France qui s’est procuré un post privé publié sur la page Facebook du site qui ne laisse pas de doute quant à la fermeture prochaine de la société. Cette dernière affirme néanmoins qu’elle mettra tout en oeuvre « pour pouvoir rembourser l’ensemble des cashouts et des sommes actuellement présente (sic) sur les comptes ». »

Up&Go s’était illustré il y a quelques mois lors de l’Estrellas Barcelona et la très belle prestation de Corinne Bauché, alors stackée par Up & Go, qui s’était hissée à la 5ème place pour un gain de 91 580 €.

Mail d’Up & Go :

« Bonjour,

Après les fermetures des cercles parisiens de Cadet et de l’aviation, c’est à notre tour de faire face à une situation particulièrement difficile. Nous avons ces dernières semaines vu nos relations avec notre organisme financier britannique se détériorer avec la fermeture de notre ligne de trésorerie et depuis vendredi un blocage pur et simple de notre compte pour contrôle anti-blanchiment suite à notre activité poker.

Cette situation ne pouvant pas se débloquer à court terme nous sommes contraint après avoir fait ces derniers jours tout notre possible pour trouver une solution alternative de déposer le bilan de la société et de mettre fin à notre aventure avec vous.

Nous mettons dès aujourd’hui tout en oeuvre pour pouvoir rembourser l’ensemble des cashouts et des sommes actuellement présente sur les comptes UP&GO.
Nous sommes conscient des difficultés que cela risque de représenter pour certains d’entre-vous et nous en sommes les premiers désolés.

Nous allons malheureusement désactiver le site (encore accessible à l’heure de la publication de cet article, ndlr) ainsi que les réseaux sociaux toutefois notre boite mail restera ouverte pour conserver un outil de communication avec vous de façon à régler le plus rapidement possible les crédits en cours.

Je n’ai pas les mots pour vous expliquer ce que nous vivons ces derniers jours et nous n’aurions jamais imaginer que cette activité était toujours autant source de suspicion même dans des pays aussi ouverts que la Grande Bretagne ».