De la physique quantique…
Il y a dans la Maison du Bluff des phénomènes singuliers que la physique modern ne peut encore expliquer et qui pourraient même être susceptibles de bouleverser les fondements de la connaissance : la distorsion du temps !
Certains l’on déjà observé en suivant le webcast sur PokerStars Live : le temps flotte comme une feuille portée par le vent, sans logique. Prenons un exemple concret : une partie de poker de 60 minutes est annoncée pour 20h. Voici des faits rationnels. Eh bien, à La Maison du Bluff, sans aucune raison tangible, elle va débuter à 23h45 et durer 2h20 !
Un autre exemple ? « Alexis, tiens-toi prêt, on commence dans 5 minutes ». Voici une phrase simple que mon fils de 6 ans est capable de comprendre. Eh bien, allez savoir pourquoi, mais les 5 minutes vont se transformer en… 2 heures ! Eh oui, quand même.
Autre énigme de la science : comment un ingé-son (corps de métier choisi au hasard), ivre-mort à 6h du matin au point d’échanger ses chaussures avec la maquilleuse, peut-il être fringuant, opérationnel et pro en n’ayant dormi que 3 heures ? Comment peut-il dénicher la moindre imperfection sonore alors que quelques instants auparavant il chantait en titubant ?
Espérons que NRJ12 ne soit pas affecté par ce même phénomène et que la diffusion télé prévue pour vendredi à 23h30 n’ait pas lieu en 2019.
Quand à moi, j’écrirais un nouvel article pour Poker 52… dans 5 minutes !
… à la biologie moléculaire
Il est fascinant de constater tout ce que l’organisme d’un corps humain peut encaisser. Régulièrement, après le tournage, différentes équipes se retrouvent dans un bar des environs. Un genre de semi-rade dont le charme se situe moins dans la déco que dans le prix extrêmement abordable des consommations.
Par bienséance – ces gens ont des familles – je ne donnerais aucun nom. Et puis la liste serait trop longue. D’autant que je suis dessus !
Je ne sais pas pourquoi Marion Nedellec et moi-même nous sommes lancé un défi, toujours est-il qu’elle à la vodka, et moi à la téquila, ce sera à celui qui capitule le premier en descendant des shots. Sa supériorité génétique (elle est Bretonne) ne devrait pas faire le poids face à ma performance du second jour dont la décence m’empêche d’indiquer le nombre de verres, disons juste qu’il faudrait plusieurs personnes pour les compter sur les doigts…
Cela me fait penser à une scène d’Indiana Jones. Mince, dans le film, c’est la fille qui gagne, non ?
Alexis Laipsker, directeur de La Maison du Bluff