Épique, rocambolesque, unique : les adjectifs ne manquent pas pour décrire l’un des points d’orgue de la semaine, le Winamax Beer Pong Open. Une ambiance toujours aussi déjantée au fil des années, des déguisements plus what the fuck les uns que les autres, et surtout, une bonne humeur communicative à la fois rare et irremplaçable. Plus que des mots, voici quelques images capturées tout au long de la soirée. Quant à moi et mon coéquipier Joffrey Lhote, notre belle aventure s’est stoppée net en quart de final tout de même, à quelques encablures de la gloire et du prestige. La revanche est prise, pour sûr.
Oui, vous êtes sur un événement poker. On vous avait prévenu.
A gauche, Tony Miles, runner-up du Main Event WSOP 2018, et accessoirement très bon pote de Pierre Calamusa.
Tout, il y avait tout pour encourager vos favoris : drapeaux, cris, chants et mégaphone.
La French No Limit n’a décidément… aucune limite.
Guillaume Diaz et Romain Lewis, qui se sont pris une sacré dérouillée en milieu de tableau.
Une qualification en finale, ça se fête !
Plus que tout
Mes précieux
En jaune, The Hot Coackroaches, finaliste du Winamax Beer Pong Open.
En vert, Les Encadreurs…
…et futurs vainqueurs de l’épreuve.
GG les bros ! « On est venu pour ça à la base, pour la déconne, pour l’ambiance Winamax. Bon là, on commence à être un peu bourré. Mais c’est cool, c’est beau, c’est magnifique : une très belle ambiance, c’est un Vegas low cost ! Et dire qu’on est arrivé à Dublin il y a seulement quatre heures ! ». Messieurs, la fiesta ne fait que commencer.
C’est au terme d’une longue finale que Yoann Kaminisky s’est finalement imposé et a décroché l’épée dédiée au gagnant de cette compétition. Peu d’observateurs auraient misé sur ce joueur discret, passé par des montagnes russes de coinflips au Day 3, et ayant frôlé à plusieurs reprises l’élimination. Il aura également bénéficié d’un étonnant play d’un short-stack à six joueurs restants, lorsqu’il relance avec K-10 offsuit, et fait coucher un short-stack (6BB) qui tenait A-10 en main…
Le fort sympathique Patrice Espinasse, qualifié lors d’un freeroll et journaliste à Midi Libre de son métier, finit runner-up, après avoir pratiqué un poker solide et plus agressif qu’on ne l’aurait imaginé. Le chipleader, Tahar Said, ainsi que le champion 2024, Jérémy Cauchard, n’auront pas réussi d’exploit, finissant respectivement 5ème et 6ème.
Il faut saluer l’excellence de l’accueil assuré par les équipes locales du Pasino Grand, ainsi que de l’organisation assumée par tout le personnel de Texapoker. Alliés à Winamax, ils ont créé un festival sans aucune fausse note, populaire et extrêmement professionnel.
L’attente a été longue, très longue puisqu’il était 1h30 matin passée lorsque que trois éliminations d’affilée ont scellé le sort des neuf survivants de la grande finale. Parmi eux, le champion 2024 WiPT, qui arrive avec le plus petit tapis, mais surtout un solide chip leader, grand habitué du live midstakes, qui aura marqué les esprits après un fold AA étrange en demie finale face à son poursuivant, le très agressif et très chanceux PL Quandalle…
Le stream de la finale est bien sûr à retrouver sur Winamax.fr à partir de 14h !
Au retour du dinner-break, toujours dix-neuf joueurs en lice, et dix éliminations à attendre pour déterminer la table finale. Parmi eux, la belle histoire continue pour les deux qualifiés freeroll des étapes live, qui jouent solidement, ainsi que pour le vainqueur de l’an dernier qui a perdu la majeure partie de son stack avant la pause contre Paul Pirès-Trigo, notamment lors d’un bluff manqué à la river avec… rien contre top-paire, pour près de 5 millions de jetons…