Chers lecteurs,-

La torpeur de l’été est encore bien en place, et tous les regards sont pour une fois détournés du poker et de ses tapis verts pour vivre à fond la folie des Jeux olympiques de Paris. Les WSOP se sont closes sur une participation record et, plus rare encore, une polémique au sujet du vainqueur : peut-on, comme il l’a fait, utiliser des solvers en direct afin de vérifier que son jeu est bien GTO ? Et si oui, est-ce vraiment légal, moral voire tout simplement… utile ? Nous reviendrons en détail dans notre numéro de septembre sur ce sujet qui a fait couler beaucoup d’encre, et qui risque bien de continuer à faire parler dans les mois à venir…

Entre-temps, les World Series ont aussi changé de main, pour la modique somme d’un demi-milliard de dollars, et ont été cédées à GG Poker, qui prouvent une fois de plus qu’ils comptent bien asseoir leur toute-puissance sur le monde du poker en ligne, et live. Que cela changera-t-il pour les prochaines éditions ? Rien, nous assure-t-on, puisque même le lieu où se tiendront les WSOP devrait rester le même. En tout cas, ce move attendu depuis longtemps aura mis près d’un an à se concrétiser, puisque les rumeurs d’une telle acquisition couraient dans les couloirs du Horseshoe déjà à l’édition précédente ! Wait and see…

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La rédaction

Chers lecteurs,-

Une fois les WSOP passées, on est généralement confronté à son propre niveau, souvent défaillant. Mais que s’est-il passé pour que nos coin flips ne passent pas, que des accès de rage ou de tilt nous fassent dérailler de la bonne marche à suivre ? Les pros, eux, ont des coachs payés des fortunes, pour tenter de décrocher la lune, mais qu’en est-il des amateurs comme nous, pauvres mortels ? Avec ce numéro hors-série spécial technique et stratégie, vous tenez autant de pistes et de solutions pour résoudre vos leaks et autres failles…

Pendant ce temps-là, dans le désert du Nevada, il y a eu le come-back de plusieurs gloires du poker, celles qui nous ont fait rêver dans les années 2000, au moment où le boom du online n’avait pas encore tout chamboulé dans le paysage médiatique. Gus Hansen ? Sponsorisé Winamax en 2024 ! Phil Ivey et son logo WPT ? Un onzième bracelet et plusieurs tables finales. Quant à Daniel Negreanu, c’est sûrement le tournoi le plus prestigieux de l’été qu’il vient de gagner, en remportant le 50 000 $ Poker Players Championship, le Graal des Graals… Tout est possible, on vous dit.

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La rédaction

Chers lecteurs,-

Les records, on le sait, sont faits pour être battus. En décrochant, au moins provisoirement, le titre de tournoi 6-max le plus gros du monde, Winamax a encore fait parler de son organisation de tournois live, avec ce mélange inédit de fête bon enfant et de tournois mid-stakes que constitue le Sismix, à Marrakech ou dans d’autres destinations soleil européennes.

Les WSOP, elles, ont commencé tout en douceur, avec déjà de très beaux fields, et des titres récompensant les plus grands joueurs de l’histoire du poker : John « Johnnyworld » Hennigan, un inconnu du grand public qui a toujours impressionné « ceux qui savent » à Las Vegas, mais aussi, au moment de boucler ces lignes, Scott Seiver. Deux monstres de régularité et, surtout, de constance à travers le temps qui sont la marque des véritables champions. Et c’est aussi à cela que les WSOP à Las Vegas servent, chaque année : rappeller qui sont les vrais « GOAT » du poker de tournoi, amener des émotions uniques en leurs genres autant pour les joueurs que pour les fans, chambouler l’histoire et l’écrire en temps réel.

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La rédaction