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Spécial Stratégie, en couv’ du Poker52 de juin

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Chers lecteurs,

Nous avons été les premiers, ces dernières années, à grommeler dans notre coin quant à la logique de masse qui sous-tendait par- fois l’organisation des WSOP dans le cadre glacial et vieillot du Convention Center du casino Rio : des hordes de joueurs débarqués le week-end pour des crapshoots à petit buy-in et déferlant sur la ville les poches prêtes à être vidées de leurs quelques économies ; les effluves atroces de la « poker kitchen » comme seule option rapide pour grignoter quelques milliers de calories de gras saturé… Comme bien d’autres, les WSOP ont semblé se « réinventer » pour 2022. Alors que les réseaux sociaux – Twitter en tête – ont plutôt tendance à désigner des coupables et à les lyncher en masse numérique, c’est une ritournelle inédite qui est chantée depuis le début des WSOP 2022 par les joueurs. Tous, pros ou joueurs récréatifs, conviennent à saluer l’organisation sans faute (notamment la qualité des croupiers lors du premier tournoi Dealer’s Choice), l’offre gastronomique décuplée grâce aux casinos Paris et Bally’s où a désormais lieu la compétition, l’accès pratique via un parking sécurisé pour une centaine de dollars la semaine, l’inscription à distance aux compétitions qui permet d’éviter les longues queues. Nous n’en sommes encore qu’aux prémices de plus d’un mois de tournois, mais pour le moment, les voix sont unanimes et l’été s’annonce particulièrement réussi.

Les lois de l’hospitalité, à Las Vegas, ont pourtant vécu. Cette ville, autrefois basée sur le concept central que le joueur devait dépenser toute sa bankroll aux tables, en échange d’une hospitalité hors du commun – chambre gratuite pour le joueur assidu, buffet ou coupons pour manger à l’œil dans les établissements des casinos, verres à volonté aux machines à sous et autres jeux de table – a accéléré sa mue avec le Covid. Las Vegas n’est plus une ville du jeu ; elle est une ville de loisir, revenant à cette définition maintes fois rebattue de « Disneyland pour adulte ». Et désormais, les billets se distribuent moins à la table de jeu qu’en périphérie. Vegas n’a jamais été aussi chère qu’actuellement. Et Vegas n’a pourtant jamais été aussi populaire.

Jérôme Schmid

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Jean-Noël Thorel, l’inoxydable aux 20 000 000$ de gains !

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Chers lecteurs,

Le monde du poker, et de ses « stakes », est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Prenez Adrián Mateos, du Team W, ou notre invité du mois, Jean-Noël Thorel : ils ont beau fréquenter les mêmes tournois à six chiffres de buy-in, on peut les croiser habités par la même ferveur à un petit 300 ou 500 €, ne lâchant rien, par pur principe et plaisir de jeu. Dans la situation contraire – un amateur qui se retrouverait à la table de plus grands –, pas certain que les enjeux ne feraient pas dévisser le jeu du nouvel arrivant dans la fosse high-stakes…

Le poker reste ainsi, fondamentalement, un loisir populaire. La nouvelle édition du Winamax Poker Tour, qui vient d’être lancée à Lille et s’achèvera en 2025 avec sa grande finale d’Aix-en-Provence, l’a encore montré, mêlant avec passion des amateurs de tout le pays, venus batailler avec toute la Team de joueurs pros de Winamax autour d’un freeroll où le respect de l’adversaire et, parfois, des coups venus de l’espace sont au programme. Lille a ainsi incarné avec son WiPT inaugural un parfait début de saison, tant semblaient alignées les valeurs prônées par ce plus grand tournoi amateur francophone et la passion pure et ludique du poker tel que pratiqué dans chaque coin de l’Hexagone.

L’intégralité du daté décembre de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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Adrian Mateos, le GOAT du GTO en couverture de Poker52 !

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Chers lecteurs,

La fin d’année se profile à l’horizon proche, et l’heure des comptes va devoir arriver… En couverture exceptionnelle pour ce numéro, une rencontre avec le plus impressionnant des joueurs actuels, l’Espagnol Adrián Mateos, le « GOAT du GTO », devenu une légende lors de sa victoire à 19 ans du Main Event des WSOPE à Enghien-les-Bains… Depuis, il est devenu la coqueluche incontestée de tous les meilleurs joueurs du monde, et pas uniquement de ses coéquipiers du Team Winamax…

Jean-Noël Thorel, numéro 1 français qui fait des malheurs lui aussi sur le circuit (super) high-roller, sera à l’honneur le mois prochain, afin de clôturer l’année en beauté avec l’une des personnalités les plus singulières et humaines du monde hexagonal du poker. Avec, en ligne de mire, les derniers gros tournois de 2024 (WSOP aux Bahamas, WPT World Championship au Wynn à Las Vegas), ainsi que les grands rendez-vous attendus en 2025 : le Winamax Poker Tour qui vient de débuter à Lille sa nouvelle saison, le France Poker Open et le Hip’Poker Tour siglés PMU et sa communauté très active, le tout nouveau ECOP signé Texapoker qui animera le début du mois de janvier, mais aussi la fin de saison du Barrière Poker Tour, les nouvelles étapes du DSO signé Unibet, et bien d’autres surprises…

L’intégralité du daté novembre de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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Olga Iermochelva, Kool Shen, Julien Sitbon & Davidi Kitai à l’honneur !

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Chers lecteurs,

Dernière ligne droite pour faire une perf’ en cette grande rentrée poker où pas un week-end ne propose pas des dizaines de tournois à quelques dizaines de kilomètres de chez vous, grâce au maillage extraordinaire créé par Apo et Texapoker – ou un peu plus loin comme avec le WPO Bratislava, qui vient de s’achever au moment où nous bouclons ces lignes. La ferveur, elle, est intacte, que ce soit pour des petits tournois hebdomadaires à 100 € dans les clubs de jeux parisiens, les casinos provinciaux ou internationaux. Les chiffres n’ont jamais été aussi hauts et contrairement aux précédentes « bulles » du poker, rien ne semble pouvoir arrêter la progression à long terme de ce qui est à la fois un loisir, un sport (pour certains qui préfèrent la réflexion au 100 mètres haies) et tout simplement une destination de loisirs et de vacances.

Tandis que le Hip’ Poker Tour de PMU a déjà fêté sa finale 2024 à Vincennes remportée par un certain… Julien Martini, pro de la Team PMU littéralement imbattable, le Winamax Poker Tour fera ses grands débuts de saison fin octobre lors d’une étape inaugurale dans la capitale du Nord de la France, Lille. Là encore, un mélange de pros, d’amateurs et de clubs de tout le pays qui n’auront qu’une idée : ferrailler dans la bonne humeur.

L’intégralité du daté octobre de Poker52 est à lire gratuitement en ligne.

La rédaction

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